Justice aux victimes du SIDA… La maladie commercialisée et institutionnalisée

2 décembre 2013

Justice aux victimes du SIDA… La maladie commercialisée et institutionnalisée

sida onusida

Tout à commencer aux États-Unis vers les années 1969, les chercheurs ont constaté l’existence d’un nouveau virus, la cause d’une maladie qui va préoccuper le monde. Dès 1970, la pandémie s’est développée  de façon exponentielle, et provoque de grande mutation dans notre culture sexuelle. Beaucoup de gens pleurent encore de cette maladie funeste, de laquelle on n’arrête pas de questionner son origine douteuse. N’est-ce pas le résultat de la curiosité intellectuelle, un produit non attendu de nos laboratoires scientifiques ? Est-ce quelque chose voulu, consenti dans un objectif clair et défini visant à exterminer ou diminuer une race de la planète Terre ? Pourquoi donc, presque deux générations après, il n’existe aucun vaccin permettant de se protéger de ce virus homicide malgré les longues avancées de la médecine en complicité avec la technologie ? Pourquoi camper toutes ces institutions prétextant défendre la cause du SIDA, pourtant elles travaillent toutes pour sa pérennisation ? Pour quand un monde sans SIDA ? Qu’en est-il de cette quantité exhaustive de victimes innocentes ?

 

Je refuse aujourd’hui à croire qu’aucun laboratoire médical de la planète n’a pas en sa possession le vaccin ou l’antidote du SIDA. C’est la seule façon pour moi de comprendre la bonne forme de l’excellent basketteur Magic Johnson, sidéen depuis une génération. Et durant cet intervalle de temps, plusieurs dizaines de millions d’individus ont déjà cassé leur pipe et d’autres sont mourants. Le syndrome immunodéficience acquis reste un fléau du monde qui semble arranger un groupe de mercenaires cachés derrière des institutions, une situation qui doit interpeller la conscience de tout citoyen. Pourquoi ces malfrats profitent tant de la cause des sidéens ? Comment se sentent-ils en voyant gémir, mourir tant de frères ? C’est insensé de profiter dans le malheur des autres, parce que personne n’est à l’abri de ce mal, peut-être seuls les dépositaires du vaccin ou de l’antidote. On compte beaucoup d’institutions qui se disent lutter contre le SIDA, mais il est à remarquer qu’aucune d’elles n’envisage pas un monde sans sida. La plus remarquable institution reste et demeure l’ONUSIDA, acronyme signifiant Organisation des Nations Unies contre ou pour le SIDA. L’ONUSIDA est là pour panser les plaies béantes, mais non pas pour les éviter, donc pour essayer de prendre soin des personnes infectées, et non pas de travailler pour éradiquer cette maladie une fois pour toute. Si l’on jette un coup d’œil sur les buts de l’onusida, ce sont : réduire la transmission par voie sexuelle, prévenir le VIH chez les consommateurs de drogue, éliminer les nouvelles infections par le VIH chez les enfants, permettre à 15 millions de personnes d’accéder à un traitement, éviter les décès liés à la tuberculose, parer à l’insuffisance des ressources, éliminer les inégalités entre les sexes, éliminer la stigmatisation et la discrimination, éliminer les restrictions en matière de déplacement, renforcer l’intégration de la riposte au VIH pour une prévision budgétaire de 22 à 24 milliards de dollar en 2015. La conclusion est évidente.

Voici la réponse à toutes mes questions adressées à un fonctionnaire d’une organisation prétextant lutter contre le sida : ‘’ il est vrai que le sida tue des millions de personnes à travers le monde mais nous ne pouvons pas aussi nous passer de ces dizaines de milliards de dollar que nous récupérons chaque année des mains des donateurs de bonne foi. Outre cela, qu’allons-nous faire de ceux qui vivent du sida, de nos employés, des pharmaciens etc. ?  Et, sans le sida la délinquance va atteindre son paroxysme d’une visière levée, voilà pourquoi donc le sida doit exister pour créer du travail et limiter la délinquance.’’ Je suis resté stupéfait durant quelques minutes, j’ai pu par là suite comprendre combien le capitalisme endurci nous ronge et détruit tout ce qu’il y a d’humain en nous, et nous transforme si vite en monstre. Dommage, le sida va demeurer encore et encore, tant que ce business est rentable.

A toutes les victimes de cette je-ne-sais-quelle maladie, je partage votre affliction comme tant d’autres. Je suis désolé de n’être que spectateur durant votre agonie mais je crois le jour viendra où l’on cessera de troquer la vie d’un homme pour de vil prix. Citoyens du monde entier, rejoignons-nous, luttons pour un monde sans SIDA, rehaussons la dignité humaine et que justice soit faite à toutes les victimes innocentes et que les mercenaires prennent conscience…

Un monde sans SIDA, ensemble nous pouvons !!!!!!

Que la lumière soit avec les sidéens !

ING Wilson FLEURIMOND

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